O tempora ! O mores ! (*)
Par Viviane R 10/01/21
Alors voilà, comment dire les choses autrement qu'en latin et qu'avec Cicéron ?
Après une année 2020 où nous avons appris, entre autres,
- à nous déplacer en minutes comptées un papier au bout des doigts (#attestation)
- à télétravailler ou à ne plus travailler du tout (#essentiel)
- à ne plus voir le monde qu'à travers sa fenêtre ou un écran (#danger)
- à respirer l'air que notre corps rejette et à ne plus voir des autres que leurs yeux (s'ils ne portent pas de lunettes (#buée)) (#masque)
- à ne plus fréquenter que les gens avec lesquels on vit (#confinement)
- à se doucher au gel hydroalcoolique plusieurs fois par jour (#asepsie)
- à rester à distance . . .
Bref, après une année 2020 aussi triste qu'une amitié bêtement arrêtée, qu'un soufflé raté ou qu'un gâteau cramé (car nous avons quand même pas mal appris à cuisiner (#kilos)), voici 2021 qui s'avance, toute de promesses précaires, où, sportivement parlant, il va falloir encore un temps, compter, si l'on a plus de 18 ans, sur son sens de la discipline en solo, fiches de Katia à l'appui (#challenge)
Combien de temps ? . . . . . . . . Joker !
C'est une époque intéressante pour tester, au moins dans la pratique sportive, son propre engagement, sa persévérance, sa capacité à se donner un cadre et à le respecter. Ainsi, quand le monde redeviendra normalement vivable, nous serons parés pour reprendre en commun les [1,2,3, . . . 10 /20/40] répétitions des mouvements de TaïSo.
Courbatures post-apocalyptiques inévitables ou pas ? (#thatisthequestion)
Donc, une année de m . . . oins pour une année plus mieux : on espère !
Hajime !
(*) Quelle époque !